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Pourquoi l’intelligence émotionnelle est devenue LA compétence-clé pour booster votre carrière (et votre vie) ?

  • Photo du rédacteur: Céline Burger
    Céline Burger
  • 26 avr.
  • 2 min de lecture



Avec son livre L’Intelligence émotionnelle, David Goleman a mis en lumière une vérité qui résonne encore aujourd’hui : le QI dénué d'intelligence émotionnelle ne suffit plus à garantir le succès professionnel.

« Ce ne sont pas nos aptitudes techniques qui font la différence, mais notre capacité à gérer nos émotions et à comprendre celles des autres. » — Daniel Goleman, L'intelligence émotionnelle (1995)

Vous recherchez des atouts aussi déterminants que les hard skills ? Je peux vous citer le fait de maîtriser ses émotions, ou encore faire preuve d’empathie !

 


1. L’intelligence émotionnelle, un véritable levier d’évolution professionnelle

Que vous ayez comme objectif une promotion, une reconversion ou le lancement de votre entreprise, l’intelligence émotionnelle irrigue chaque étape :


  • Gérer son stress en situation de crise

« Le leadership se mesure moins à la force qu’à la maîtrise de soi lorsque tout s’effondre. » (extrait libre de Emotional Intelligence 2.0, Travis Bradberry & Jean Greaves)


  • Communiquer avec impact et authenticité

L’intelligence émotionnelle vous aide à choisir les bons mots et le ton adapté, même face aux personnalités les plus difficiles.


  • Inspirer confiance et fédérer des alliances durables

À l’instar de Nelson Mandela (Invictus, 2009), un leader empathique crée du lien avant tout.


  • Piloter des équipes avec vision et empathie

Les meilleurs managers sont ceux qui savent écouter, et non simplement déléguer.


« Ce n’est pas la force, mais la persévérance qui fait les grandes œuvres. » — Samuel Johnson

Comme le rappelle Josh Bersin, l’intelligence émotionnelle, qui était autrefois considérée comme une « soft skill », est en train de devenir un hard requirement sur le marché du travail moderne.


2. L’intelligence émotionnelle : pilier de l’équilibre pro/perso


Dans un monde toujours plus frénétique (je l'ai déjà souligné dans des articles précédents), savoir poser des limites est essentiel :


  1. Dire non sans culpabilité (cf. l’assertivité, détaillée par Brené Brown dans Dare to Lead, 2018).

  2. Écouter ses signaux d’alerte émotionnels (cf. les conseils de Susan David dans Emotional Agility, 2016).

  3. Transformer les émotions inconfortables en moteur de décision


« La qualité de votre vie dépend de la qualité de vos émotions. » — Susan David, L'agilité émotionnelle

Sans intelligence émotionnelle, le risque est le burn-out ; alors qu'avec, vous devenez l’architecte de votre propre bien-être.



3. Intelligence émotionnelle et futur du travail

Alors que l’intelligence artificielle et l’automatisation transforment nos routines, je veux souligner que nos compétences humaines, telles que la créativité, l’empathie ou encore la résilience, sont et resteront notre valeur ajoutée, ce qui nous différencie. 

Les ordinateurs seront capables de faire des choses qu’on ne peut même pas imaginer, mais ils ne se mettront jamais à l’école du cœur.


Je me demande si l’intelligence émotionnelle peut être la clé d’un avenir professionnel plus humain, ou si elle finira par être le privilège réservé aux « slow managers » ?


A voir : Infographie ~ Intelligence émotionnelle


🔎 Et vous ?

Dans quelle mesure l’intelligence émotionnelle structure-t-elle vos ambitions professionnelles ? 

Partagez vos expériences et idées en commentaires !

 

 
 
 

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